La solution à tous les problèmes
Je ne connais pas le nom de ton problème, mais je connais le nom de ta solution : JÉSUS !
Gardons les yeux fixés sur Jésus, il est monté sur son cheval blanc pour venir combattre le bon combat de la foi à nos côtés avec son armée d’anges. Il a remporté la victoire à la croix, maintenant c’est par la proclamation de notre foi que nous allons l’expérimenter.
L’épée de la Parole de Dieu qui sort de la bouche du Seigneur Jésus, c’est pour la mettre dans nos bouches, Jésus a dit que nous devons parler à nos défis pour qu’ils disparaissent. Il a dit à celui qui a la foi :
Marc 11:22 Jésus prit la parole, et leur dit : Ayez foi en Dieu. 23 Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ote–toi de là et jette–toi dans la mer, et s’il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. 24 C’est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.
Le Seigneur Jésus avait parlé un jour à Kenneth Hagin, et il lui avait fait remarquer que le verbe « dire » revient plus souvent que le mot « foi » dans ce passage. Jésus lui a dit que ses disciples avaient la foi mais ne parlaient pas suffisamment pour voir leurs problèmes disparaître.
Le mot « foi » est un nom, le verbe « dire » est une action. Il faut parler pour mettre la foi en action, et il faut parler avec amour, car la foi est agissante par l’amour, si ce n’est pas l’amour qui motive nos paroles, nos paroles ne seront pas productives pour enlever notre montagne. Pire encore, des paroles de doute ou d’incrédulité vont contribuer à faire grossir cette montagne.
Si on ne parle pas des paroles de foi motivées par l’amour à cette montagne de défi, elle va rester là, si on décide de l’enlever par nous-même, on est comme ce type qui aurait décidé d’enlever cette montagne avec une pelle. Stupide, n’est-ce pas!? Dans 5 ans, on va le trouver encore en train de pelleter, parce que le diable va continuer à déverser des camions de 10 roues de problèmes sur sa montagne. Au nom de Jésus, nous ne sommes pas stupides, nous sommes sages et nous allons proclamer le nom de Jésus sur cette montagne et elle ne pourra pas résister indéfiniment à nos déclarations de foi, elle n’ôtera pas le choix de s’enlever de notre chemin, elle devra se résoudre à aller disparaître au fond de la mer de l’oubli, comme ces démons qui se sont enfuis dans un troupeau de porcs. Plus personne ne pourra voir ce défi qui bloquait la route de notre destinée.
Alléluia! Dieu le Père a élevé le nom du Seigneur Jésus au-dessus de tous les problèmes qui peuvent se nommer, au dessus de tous les noms, alors élevons le nom de Jésus au-dessus de tous nos défis ce matin, dans le temps de louange.
Sur le vêtement de Jésus est écrit « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », Jésus est le Roi, le Seigneur du roi qui s’élève contre nous dans les lieux célestes pour résister aux anges qui accompagnent Jésus pour exercer un ministère en notre faveur. En proclamant le nom de Jésus et la vérité de sa Parole, nous combattons aux côtés des anges et ils auront finalement le dessus sur les démons, sur le roi de la maladie, sur le seigneur de la déprime, sur le chef des conflits relationnels, sur le prince des déficits financiers. Tous devront fléchir les genoux devant le Roi des rois, devant le Seigneur des seigneurs, devant leur Roi et leur Seigneur qui en fera son marche-pied pour accéder à son trône de gloire.
Le nom de Jésus n’est pas une formule infaillible, ça doit être le Saint-Esprit qui nous inspire à l’utiliser et non nos émotions. Le Saint-Esprit sait quand, où et comment l’impact sera glorieux.
Dans Actes 3, toute la population de la ville de Jérusalem connaissait ce boiteux qu’elle devait croiser chaque fois qu’elle entrait dans le temple. Pierre et les 3000 disciples le croisaient chaque jour qu’ils allaient au temps pour prier.
Quand le Saint-Esprit inspira à Pierre que c’était le moment de glorifier Dieu et cautionner la Bonne Nouvelle, il lui a dit de se lever au nom de Jésus, pas un jour avant.
Pierre avait prié avant de ressusciter Dorcas, cela prouve qu’il ne lui suffisait pas de prononcer le nom de Jésus sur tous les problèmes comme une incantation.
Cest le piège de prendre un récit et en faire une doctrine. Celui qui raconte l’histoire n’a pas nécessairement décrit tout le processus, tous les détails et sinon se fie sur ce qui est écrit, on risque de sauter par dessus des étapes importantes, voire essentielles. Et cela pourrait expliquer pourquoi plusieurs commandements assaisonnés du nom de Jésus restent sans réponse, alors que dans le Nouveau Testament, cela fonctionnait sur le champ.
Nous avons tout pleinement en Jésus-Christ, allons le chercher par la foi en persévérant dans la prière.
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