Les principaux courants dans le catholicisme
- A. Le courant traditionaliste
- B. Le courant libéral
- C. Le courant intégriste
- D. Le courant charismatique
- E. Le courant syncrétique
- F. Le courant formaliste
- G. Le courant socialiste
C’est le courant qui suit le Pape et ses évêques à la lettre, une minorité que certains établissent à 10% de ceux qui se proclament catholiques, ce sont les « pratiquants » sérieux à propos de leur foi et s’appliquent à suivre le Concile du Vatican II. On recherche à réunifier l’église tout en restant ferme sur ses positions.
Hans Küng a influencé beaucoup de théologiens et de prêtres en rendant populaire la théologie libérale protestante qui remet en question tout le miraculeux de la Bible.
Mouvement suscité par Mgr Lefebvre, c’est le retour en arrière avec la messe en latin, on rejette Vatican II, on s’oppose à l’oecuménisme parce qu’on considère tous les autres comme des hérétiques qui s’en vont en enfer.
Ce mouvement, légitimé par le cardinal de Suenens, a pris bien des Pentecôtistes par surprise, car ils ne pensaient même pas que des catholiques puissent être sauvés, encore moins parler en langues. La doctrine y est plutôt confuse parce qu’on met l’accent sur l’expérience.
Ça c’est plus que discutable comme approche puisqu’on permet l’intégration de pratiques païennes comme le spiritisme dans l’église sous prétexte de respect des cultures. Comme si l’apôtre Paul aurait accepté qu’on dresse des idoles dans les églises, lui dont leur seule vue faisait monter en lui l’irritation.
La majorité des catholiques, certains disent 80%, ce sont ceux qui le sont de naissance, mais qui ne pratiquent pas sans y être vraiment réfractaires. On participe aux sacrements comme le baptême et le mariage et les fêtes religieuses comme Noël et Pâques. Si ça va vraiment mal, on demandera de l’aide parfois à Dieu. On n’a pas de conviction profonde, on est ballottés par les modes du moment, faisant des compromis avec le péché sans s’en formaliser puisque la Parole de Dieu ne fait pas autorité dans nos vies et qu’on ne la connaît de toute façon pratiquement pas.
Ceux qui prônent un évangile social engagé, en soutenant les syndicats et les réformes sociales. On prend parti pour les démunis, ce qui est bien en soi mais on oublie de prend soin de l’aspect spirituel. La forme extrême fut avec la théologie de la libération en Amérique du Sud. A quoi sert de gagner le monde si on perd son âme ? Certains prennent même les armes en oubliant que Jésus a averti que celui qui vivaient de l’épée mourraient de l’épée et c’est souvent ce qui s’est passé.
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