Parler en langue singulier ou pluriel, quelle est la distinction ?

EXPLICATIONS ÉVALUÉES

1° EXPLICATION

En lisant 1Corinthiens 14, j’ai cru comprendre que la distinction parler en LANGUE = pratique personnelle et parler en LANGUES = pratique ecclésiale ne semble pas soutenable bibliquement parlant. Voici les deux versets ci-dessous qui m’ont amené cette réflexion.

a) PARLER EN LANGUES AU PLURIEL

1Corinthiens 14:5 Je désire que vous parliez tous en LANGUES, mais encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus important que celui qui parle en LANGUES, à moins que ce dernier n’INTERPRÈTE pour que l’Eglise reçoive une édification.

b) PARLER EN LANGUE AU SINGULIER

1Corinthiens 14:27 Y en a-t-il qui parlent en LANGUE, que deux ou trois au plus parlent, chacun à son tour, et que quelqu’un INTERPRÈTE.

On entend souvent comme explication que le parler en LANGUE au singulier concerne la pratique personnelle. On voit cependant dans ce dernier verset que le parler en LANGUE au singulier NE CONCERNE PAS LA PRATIQUE PERSONNELLE, car il se fait dans un contexte ECCLÉSIAL où plusieurs sont réunis et c’est pourquoi il demande à être interprété et qu’une seule personne parle à la fois, pas tous en même temps.

Le parler en LANGUE au singulier, comme le parler en LANGUES au pluriel sont pratiqués tous les deux en public et demandent à être interprétés en public pour être une source d’édification, sinon seul Dieu comprend ce qu’il y a à comprendre.

2° EXPLICATION

J’ai déjà entendu comme autre explication que quand c’est une personne qui parle, on lit alors qu’elle parle en langue au singulier et que si c’est plusieurs personnes qui parlent, on lit alors qu’elles parlent en langues au pluriel, mais dans ce verset 27, on lit le verbe au pluriel et le nom « langue » au singulier :  » parlent en LANGUE ». Alors cette explication aussi ne tient pas la route non plus.

3° EXPLICATION

Encore une autre explication voudrait que le parler en langues au pluriel soient des langues réellement pratiquées dans le monde, comme l’anglais et le français mais inconnues des personnes qui les parlent et les écoutent – pouvant donc être interprétées et traduites – et que le parler en langue soient une langue propre à la personne sans structure ni sens intelligible et donc impossible à interpréter dans le sens de traduction littérale.

Quand Paul parle des langues, il précise que toutes les langues parlées se doivent d’avoir une signification alors on pourrait se demander pourquoi le parler en langue n’aurait pas de signification, juste parce que l’intelligence ne peut le comprendre, cela ne le dispense pas d’être une vraie langue, mon intelligence ne comprend pas non plus le swahili ni le lingala, langues parlées au Congo.

1Corinthiens 14:10 Si nombreuses que puissent être les diverses langues dans le monde, aucune d’entre elles n’est dépourvue de signification.

Comme Paul place la même exigence d’interprétation du parler en langue au singulier comme du parler en langues au pluriel, l’argument me semble perdre aussi de sa pertinence ou bien alors il faudrait différencier interpréter et traduire ; interpréter n’aurait pas rapport avec les mots prononcés en langue au singulier qui n’ont pas de sens en soi. Pourtant quand on parle d’interprète, on parle de quelqu’un qui comprend le langage parlé et est en mesure de le présenter dans une autre langue.

4° EXPLICATION

J’ai enfin entendu comme autre explication que le parler en langue au singulier, c’est le langage que les anges parlent entre eux. S’il est vrai que les anges parlent assurément entre eux et qu’ils semblent avoir un ou des langages bien à eux, d’après 1Corinthiens 13:1, à la lumière des parlers en langue entendus, leur langage serait bien pauvre s’il se limitait aux sons prononcés, le parler en langue ne serait au mieux qu’un échantillon limité des langues parlées par les anges.

5° EXPLICATION

Finalement, la distinction entre le parler en langue au singulier et le parler en langues au pluriel pourrait résider dans le fait que le premier s’adresse à Dieu tandis que le deuxième s’adresse aux hommes.

a) PARLER EN LANGUE au singulier s’adressant à Dieu

1Corinthiens 14:2 En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux hommes mais à Dieu, car personne ne le comprend, et c’est en esprit qu’il dit des paroles mystérieuses.

1Corinthiens 14:27 Y en a-t-il qui parlent en langue, que deux ou trois au plus parlent, chacun à son tour, et que quelqu’un interprète.
28 S’il n’y a pas d’interprète, qu’on se taise dans l’Eglise et qu’on parle à soi-même et à Dieu.

Sans interprétation disponible, on ne devrait pas entendre de parler en langue au singulier dans l’église, la personne devrait se parler à elle-même et s’édifier personnellement (1Co.14:4) en offrant à Dieu d’excellentes actions de grâce (1Co.14:17) sans que son intelligence puisse en saisir le sens.

b) PARLER EN LANGUES au pluriel s’adressant aux hommes

Elles sont une édification pour les croyants quand elles sont interprétées et elles sont un signe pour les incrédules, en réalisation de la prophétie d’Ésaïe.

1Corinthiens 14:21 Il est écrit dans la loi: C’est par des hommes d’une autre langue et par des lèvres étrangères que je parlerai à ce peuple, et même ainsi, ils ne m’écouteront pas, dit le Seigneur.
22 Par conséquent, les langues sont un signe non pour les croyants, mais pour les non-croyants;

C’est exactement ce qui s’est passé à la Pentecôte alors que les juifs de la diaspora entendaient avec incrédulité les 120 disciples parler des merveilles de Dieu dans leurs langues qu’ils savaient inconnues par les disciples.

6° EXPLICATION

Donc, le parler en langues au pluriel concerne le don de parler diverses langues (1Co.12:10), des langues inconnues de ceux qui les parlent mais possible aux hommes qui les maîtrisent de les comprendre. Tandis que le parler en langue au singulier ne concerne pas une vraie langue structurée avec notre intelligence humaine, elle provient de notre esprit et les sons qui sortent n’ont aucune importance, ce qui importe c’est que le Saint-Esprit se serve de ces sons pour glorifier Dieu et faire avancer son royaume. Dieu ne nous explique pas comment cela se produit et il n’a pas à le faire puisque cela touche le domaine de notre esprit et non de notre intelligence, nous croyons la Parole de Dieu et la mettons en pratique par la foi ! C’est dans ce sens qu’on comprend alors le passage suivant où il est question de soupirs que les mots n’arrivent pas à exprimer.

Romains 8:26 De même l’Esprit aussi nous vient en aide dans notre faiblesse. En effet, nous ne savons pas ce qu’il convient de demander dans nos prières, mais l’Esprit lui-même intercède pour nous par des soupirs que les mots ne peuvent exprimer. 27 Et Dieu qui examine les coeurs sait quelle est la pensée de l’Esprit, parce que c’est en accord avec lui qu’il intercède en faveur des saints.

Parce que le parler en langue est une langue parlée avec notre esprit sans que notre intelligence soit en mesure de la comprendre, certains en viennent à la conclusion que le parler en langue au singulier associé au parler en esprit n’est pas un vrai langage, comme si un langage de l’Esprit n’avait pas besoin de structure linguistique. Les anges sont des esprits qui parlent des langues intelligibles, Dieu est esprit et il parle une langue intelligible, le Saint-Esprit parle lui aussi de manière compréhensible. Je ne trouve pas très convaincants d’avancer que parce que c’est un langage de l’esprit que cela n’a pas besoin d’être un vrai langage, d’autant plus que Paul rajoute que celui qui parle par l’esprit rend d’excellentes actions de grâces, alors il faut bien que ce soit des mots qui ont du sens aux yeux de Dieu qui est le seul à pouvoir les comprendre..

S’il y a une distinction entre parler en langue au singulier et parler en langues au pluriel, c’est dans ce dernier point qu’on pourrait le trouver.

La doctrine pentecôtiste conventionnelle mentionne qu’on reçoit un parler en langue au singulier quand nous recevons le puissant baptême du Saint-Esprit. C’est le parler en langue qui nous édifie personnellement et que Dieu seul peut comprendre. Ce qu’on remarque, c’est que dans les Actes des Apôtres, les trois fois où les gens ont parlé en langues lors du baptême du Saint-Esprit, C’ÉTAIT LE PARLER EN LANGUES AU PLURIEL qui est mentionné et non celui qui est au singulier (Actes 2:4, 10:46 et 19:6), alors c’est exactement le contraire de ce que la doctrine pentecôtiste avance à ce sujet.

Actes 2:4 Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et se mirent à parler en d’autres LANGUES, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.

Actes 10:46 Car ils les entendaient parler en LANGUES et glorifier Dieu.

Actes 19:6 Lorsque Paul leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, et ils parlaient en LANGUES et prophétisaient.

Pourtant Luc a suivi Paul dans ses déplacements et ses enseignements pendant des années, ce serait vraiment étonnant qu’il n’est pas saisi cette nuance entre le parler en langue au singulier et au pluriel, au point de les inverser. De plus, dans Actes 2:4, il est spécifié que les disciples parlaient en d’autres langues que les incrédules pouvaient comprendre, en réalisant de la prophétie, comme je l’ai déjà mentionné. Ce parler en langues au pluriel était donc le don de vraies langues, le don accordé par le Saint-Esprit dans 1Corinthiens 12.

Si à la réception du baptême du Saint-Esprit, c’était des vraies langues, alors quand est-ce que les premiers chrétiens se sont mis aussi à parler en langue au singulier ? En même temps qu’ils avaient parlé en langues au pluriel, ou à un moment ultérieur ? On a aucun exemple où une personne a parlé en langue et en langues dans les Actes. On entend parfois des témoignages de gens qui ont parlé en langues de nos jours, alors c’est encore possible, la plupart du temps c’est le parler en langue au singulier qu’on entend, sans interprétation et sans édification autre que pour la personne qui le parle, parce que c’est rarement enseigné qu’il devrait y avoir interprétation AUSSI pour le parler en langue, selon 1Corinthiens 14:27, pas seulement quand il s’agit du parler en langues selon 1Corinthiens 14:5.

Qu’en pensez-vous ?

Peut-être avez-vous quelque chose de supplémentaire à proposer comme explication pour les distinguer, en plus du point 6 mentionné, les explications apportées généralement étant plus ou moins satisfaisantes à la lumière des Écritures. Peut-être aussi n’est-ce vous pas convaincu par le point 6 non plus et pensez que Paul passe d’une formulation à l’autre sans avoir un sens particulier à l’esprit. Si vous pensez ainsi, j’aimerais vous faire remarquer qu’une seule lettre grecque change de forme quand elle est placée à la fin d’un mois, c’est le s, la lettre sigma. Ça me dit que c’est une lettre importante qu’on devait sûrement prononcer.

Alors ce n’est pas comme en français, où elle est la plupart du temps muette à la fin des mots ( il y a des exceptions, on prononce toujours le s de plus en mathématiques, mais pas quand on dit à plus tard). En français, on n’entend pas la différence entre langue et langues mais les hellénophones l’entendaient, eux, quand on leur lisait 1Corinthiens 14 dans l’église, « lalein glossè » sonnait différemment de « lalein glossais ». Les anglais l’entendent aussi ; « speaking in tongue » sonne différemment de « speaking in tongues », on distingue le son zzz.

Paul devait certainement avoir une raison de passer du singulier au pluriel, ce n’est pas raisonnable de penser que le parier en langue signifie la même chose que le parler en langues. Si je dis en français « les langues », vous allez tout de suite faire une distinction dans votre esprit que si je dis « la langue », n’est-ce pas !

Et pourtant, ceux qui ne sont pas dans la mouvance charismatique ne font généralement pas de distinction entre les deux termes et la langue française y contribue involontairement parce qu’on ne prononce pas le s à la fin des mots généralement.

Rien n’est écrit pour rien, et on ne parle pour rien dire, surtout pas dans la Parole de Dieu ! Tous les détails ont leur importance, même si on en connaît pas toujours le sens, même si on ne le remarque pas toujours.

Donc la question légitime qu’on doit se poser en tant qu’héritiers royaux appelés à sonder les choses, c’est pourquoi Paul passait-il plusieurs fois du parler en langue au parler en langues dans 1Corinthiens 14 ?

La repose qui s’impose, c’est qu’il ne parlait pas de la même chose, mais quelle distinction faisait-il au juste ? Il faut sonder !

Le parler en langue concerne une langue à part, tandis que le parler en langues concernent plusieurs langues comme on en parle dans le monde.

Quelle est donc cette langue à part qui se distingue de toutes les autres langues ? Elle doit être spéciale pour être ainsi distinguée de toutes les autres qui sont regroupées.

Comme on parle dans le contexte des dons spirituels, on peut s’attendre à ce que cette langue soit d’origine surnaturelle, d’autant plus que l’intelligence humaine ne peut la comprendre, elle nécessite le Saint-Esprit pour lui donner un sens.

Justement dans le texte on dit qu’on parle à Dieu quand on parle en langue, tandis que quand on parle avec notre intelligence, on peut s’adresser aux hommes aussi bien qu’à Dieu.

Puisqu’on parle à Dieu en parlant en langue, on peut aussi prier en langue et chanter en langue sans que notre intelligence y comprenne quoi que ce soit. C’est un acte de foi que nous faisons quand nous parlons en langue car nous ne pouvons pas vérifier ce que nous disons.

Et il se trouve que nous sommes appelés à marcher par la foi, alors nous pouvons aussi parler par la foi, prier par la foi et chanter par la foi sans rien comprendre, les démons non plus n’y pigent absolument rien, seul Dieu arrive à y faire du sens des choses merveilleuses et mystérieuses qui sont dites car rien ne lui est impossible. Alléluia !

Alors que faire ? N’empêchez pas de parler en langue, parlez avec votre esprit en langue et parler avec votre âme, siège de votre intelligence, surtout quand vous êtes en privé. Vous pouvez le faire aussi en Église mais cinq paroles compréhensibles y sont préférables à 10000 paroles en langue puisqu’elles ont le pouvoir d’édifier ceux qui les écoutent, pas seulement l’esprit de la personne qui les prononce.

Quand vous parlez en langue, vous ne parlez pas pour rien dire même si vous ne comprenez rien, vous créez de l’activité dans le monde spirituel car la parole a toujours un effet, qu’elle soit celle de Dieu ou des hommes créés à l’image de Dieu.

Ne discréditons pas ce que nous ne comprenons pas.

Actes 17:11 Ces derniers avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique. Ils accueillirent la parole avec beaucoup d’empressement, et ils examinaient chaque jour les Ecritures pour voir si ce qu’on leur disait était exact.

avril 27, 2018

Étiquettes : ,
  • La glossolalie est un don parmi les autres que le Saint Esprit distribue comme il le veut 1Cor 12.11, donc j’en déduis que tous ne sont pas appelé à cette pratique, qui plus est, le seul don que l’on peut se targuer d’avoir sans être vérifiable contrairement aux autres. Paul dans sa lettre aux corinthiens n’encourage pas du tout la pratique, puérilement si l’on me dit que je réfère 5 chats à mille chiens visiblement c’est que je n’aime pas les chiens. J’aimerais comprendre ce que peut être l’édification personnelle par les écritures quand on ne comprendre ce que l’on dit, je suis dubitatif! j’aimerais voir un maçon édifiant un mur sans savoir ce qu’il fait, d’ailleurs Paul n’explique rien à ce sujet. D’autre part le parler en langue soit un acte de foi, Hébreux 1.11 la foi est l’assurance de ce que l’on espère et une démonstration, une persuasion ferme et confiante attente de voir Dieu exécuter ce qu’il a promis en JC. Comment donc espérer et attendre quelque chose subordonner une hypothétique demande. Dans les évangiles Jésus Christ notre seigneur possesseur de tous les dons, n’a pas exercé ni encouragé à pratiquer le parler en langue à ses disciples. Pourquoi?

    • Les raisonnements logiques et la Parole de Dieu ne font pas toujours bon ménage. Dieu aime bien confondre la sagesse des sages avec sa folie. Il est écrit que celui qui parle en langue n’est pas en mesure de comprendre avec son intelligence ce qu’il dit à moins d’en recevoir l’interprétation et pourtant son esprit en est édifié quand même bien il n’a rien compris de ce qu’il a dit. C’est ce que Paul explique dans les citations ci-dessous.

      C’est un non sens du point de vue logique, c’est la folie de la foi qui encourage la manifestation de la puissance de Dieu.

      1Corinthiens 14:2 En effet, celui qui parle en langue ne parle pas aux hommes mais à Dieu, car personne ne le comprend, et c’est en esprit qu’il dit des paroles mystérieuses.
      3 Celui qui prophétise, au contraire, parle aux hommes, les édifie, les encourage, les réconforte.
      4 Celui qui parle en langue s’édifie lui-même, alors que celui qui prophétise édifie l’Eglise.
      5 Je désire que vous parliez tous en langues, mais encore plus que vous prophétisiez.

      1Corinthiens 14:14 En effet, si je prie en langue, mon esprit est en prière, mais mon intelligence est stérile.

    • Dieu te bénisse frère Alain .Je voulais intervenir justement consernant ta dernière phrase où il est dit: »Notre seigneur possesseur de dons ,n’a exercé ni encouragé aux disciples les parlers en langue ».Bien aimé lisez bien l’écriture ,notre Seigneur est la première personne a parler au sujet de nouvelles langues ,lisez Marc 16:17 là vous comprenez que ce le seigneur qui a encouragé les parlers en langues et il parlé aussi en langue ,si les disciples en ce temps là n’avaient pas parlé en langue pendant que Jésus exerçait son ministère ,la raison est que qu’ils attendaient l’accomplissement de Joël 2:28, au jour de la Pentecôte ,ce qui a était réalisé.C’est alors que Paul est venu nous faire assoir dans cette doctrine de parlers en langues en nous retraçant les grandes lignes dans sa 1er épître aux corinthiens chap 12 et le chap 14.Merci bien soyez benis.

      • Dans les meilleurs manuscrits, les plus anciens, l’évangile de Marc s’arrête après le verset 8. Il y a divers variantes pour le reste de l’évangile des versets 9 à 20. Ce n’est pas impossible que Jésus ait parlé des nouvelles langues. Son absence de plusieurs bons manuscrits peut vouloir dire deux choses : 1° Certains copistes ont pu trouver ce texte trop extravagant pour que Jésus l’ait prononcé alors ils l’ont enlevé de leurs copies.
        2° Certains copistes ont pu trouver que cet évangile se terminait trop abruptement et ont pigé ailleurs pour le terminer, ce qui expliquerait qu’il existe différentes fins de cet évangile.

  • Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *