Biographie

LE POINT CULMINANT

J’étais plutôt désintéressé de la personne de Jésus jusqu’à ce que je lise l’évangile de Luc en 1977. Alors je me suis posé cette question : ou bien ce type est trompeur ou il dit la vérité. J’en ai conclu qu’Il y avait trop d’amour dans ses paroles et trop de puissance dans ses actes pour qu’il soit un trompeur. Une génération plus tard, j’en suis plus convaincu que jamais. Ce bébé qu’on aurait encouragé aujourd’hui la mère d’avorter mérite d’être reconnu comme Seigneur et Sauveur de l’humanité !

COURTE BIOGRAPHIE

J’ai eu une enfance tranquille et heureuse. Quand je suis parti de chez mes parents pour les études, j’ai commencé à me questionner sur le sens de la vie. Les cours de philosophie au collège ne me fournissaient pas de réponses satisfaisantes.

Tout a changé quand je me suis mis à lire la Bible par simple curiosité. La lecture des Proverbes m’a montré que la compréhension de la Bible m’était accessible sans avoir passé par l’étude théologique. La lecture de l’Évangile m’a ensuite fait devenir un fan de Jésus ; j’admirais sa compassion et sa droiture.

J’ai décidé de devenir son disciple le jour où j’ai compris que c’est ma place qu’il avait pris sur la croix quand il avait été abandonné de Dieu à cause de mes péchés.

Mon amour pour Jésus ne cesse de grandir à mesure que j’apprends à le connaître et je suis heureux maintenant de répondre à son appel de paître ses brebis.

LONGUE BIOGRAPHIE

Mes parents m’ont appelé « Yvan ». Dans ma jeunesse, j’avoue que je n’aimais pas beaucoup ce prénom dans ma jeunesse; me faire appeler « Yvan des bananes » devenait lassant. Maintenant que je sais que Yvan est la forme russe de Jean, la forme francisée de Yohannan, grâce de Yahweh de hébreu, j’ai appris à aimer mon prénom, je trouve qu’il exprime bien la faveur de Dieu à mon égard.

À commencer par ma naissance, ma mère avait perdu ses deux premiers enfants avant moi, un mort-né et une fille décédée après quelques semaines. Dans mon cas, les premiers mois ont été difficiles mais Dieu a décidé que je vivrais, il avait fait des plans pour moi, c’est une grâce de Yahweh.

Il m’a placé aussi dans une bonne famille, mes parents m’ont témoigné beaucoup d’amour et j’ai grandi dans un milieu à l’aise, c’est encore une autre grâce de Yahweh. Ma mère n’arrivait plus à avoir d’autres enfants. Je me plaignais de ne pas avoir de petit frère alors mes parents ont été me chercher un frère à l’adoption. On s’entend bien ensemble, j’espère qu’il connaîtra un jour le Seigneur.

J’étais été élevé dans l’église catholique mais ça ne pratiquait pas beaucoup chez nous ; on allait à la messe une fois par année, la veille de Noël. Comme Dieu n’était pas dans le portrait familial, à l’adolescence, j’en étais venu à en douter de son existence.

À 17 ans, j’ai quitté la maison pour aller étudier au niveau collégial à St-Hyacinthe. Je me demandais ce que j’allais faire de ma vie, quel sens aussi donner à ma vie. Je sentais que je devais trouver ces réponses par moi-même maintenant. J’ai lu sur plusieurs philosophies et religions sans que cela m’apporte de réponses satisfaisantes. Comme elles se contredisaient, je voyais bien qu’elles ne pouvaient avoir toutes raison. J’étais bien sceptique. j’ai rencontré un de mes amis d’enfance que je n’avais pas revu depuis des années, son attitude joviale et relaxe m’avait surpris car il était plutôt sombre au temps où je l’avais connu.

Je le lui ai fait remarquer et il m’a répondu que c’était depuis qu’il lisait la Bible qu’il était heureux. Cela m’avait étonné car je ne pensais pas que la Bible était un livre qui pouvait encore avoir une portée actuelle, ce livre avait été écrit il y a si longtemps, si loin de chez nous, par des gens d’une culture et d’une éducation tellement différente de la mienne. Cela m’avait intrigué, moi qui pensais que c’était juste bon pour les moines et les prêtres sévères et austères. Mon ami m’avait encouragé à lire l’Apocalypse, alors je l’ai tout lu… sans rien comprendre de ces histoires de coupes et de trompettes !, je venais de cataloguer la Bible comme étant un livre bon juste pour les théologiens.

Si vous ne savez pas comment témoigner, ne vous en faites pas avec ça, c’est le Saint-Esprit qui convainc, soyez seulement assuré d’aimer les gens à qui vous parlez. L’année suivante, à la bibliothèque du Cegep j’avais trouvé une vieille Bible, la version de Jérusalem, et je l’avais ouverte au hasard, je suis tombé sur les proverbes de Salomon. La sagesse de Salomon m’avait impressionné et avait beaucoup augmenté mon estime des Écritures. Il décrivait tellement bien le coeur de l’homme, mon propre coeur J’étais bien content de voir que je pouvais comprendre ce que disait la Bible après tout. Un verset m’avait particulièrement capté mon attention, je peux encore le citer dans cette version :

Proverbes 20:17 Savoureux est à l’homme le pain fraudé, mais après, il a la bouche pleine de gravier.

Ensuite, j’ai décidé d’aller lire les Psaumes, un ami de classe m’avait dit qu’il aimait bien les lire. Le Psaumes 102 est le premier psaume que j’ai lu dans la Bible, en automne 1977. Je me rappelle avoir pensé que le type est bien malheureux et il crie à Dieu sa détresse. Cela ne m’avait pas donné le goût de lire d’autres psaumes. Donc, ma lecture de la Bible était partie pour s’arrêter là jusqu’à ce que …

Mon professeur de philosophie était un taoïste qui se moquait de Dieu et de la Bible, je le trouvais très orgueilleux et suffisant, alors j’ai naturellement pris le parti de la Bible, pour le peu que j’en savais. Il la connaissait bien mieux que moi et me confondait facilement. Par exemple, il nm’avait demandé comment Jésus était né ; je lui avais répondu qu’il était le fils de Joseph et Marie, alors il s’était moqué de moi en disant que la Bible disait que c’était le Saint-Esprit qui était le père de Jésus et que c’était une chose incroyable à ses yeux. Mon ignorance des Écritures ainsi exposée, cela a eu pour effet de me donner la détermination de lire les évangiles et mon étonnement a encore grandi en voyant de quelle manière Jésus déjouait les questions pièges des pharisiens. Cela me sautait aux yeux que Jésus était du bon côté, que c’était lui le gentil, qu’il disait la vérité, alors que ses contradicteurs étaient malveillants, hypocrites, et ne cherchaient qu’à protéger leurs propres intérêts. J’étais devenu un fan de Jésus. J’en suis venu à la conviction que Jésus disait la vérité, il le prouvait en actions aussi, ce que ses contradicteurs ne pouvaient faire; il aimait les gens, les guérissait, faisait toutes sortes de miracles qui prouvaient ses paroles. Par contre, arrivé au récit de la crucifixion, cela me faisait trop de la peine de le voir maltraité ainsi et j’ai cessé la lecture.

Ensuite, j’ai rencontré des chrétiens qui avaient une table de livres dans le couloir menant à la cafétéria de l’école. J’aimais discuter avec le pasteur qui les accompagnait, il me demandait souvent « Yvan, es-tu sauvé ? » « Sauvé, sauvé de quoi ? » je lui répondais. Ces chrétiens baptistes m’ont fait prendre connaissance des multiples prophéties qui annonçaient sa venue et cela a fini de me convaincre, alors que les hommes ne peuvent même pas prédire le temps qu’il va faire sans se tromper une fois sur deux, la Bible contient plusieurs dizaines de prophéties qui se sont accomplies à la lettre ! Ces chrétiens m’ont expliqué que j’avais besoin d’être sauvé. J’avais de la difficulté à comprendre pourquoi Jésus était mort sur la croix et pourquoi j’avais besoin d’être sauvé. Puis un jour, j’ai demandé si l’histoire d’Adam et Eve était vraie. Le pasteur avait dit oui. J’avais été impressionné par le caractère et les paroles de Jésus quand j’avais lu l’évangile, alors je lui ai demandé si Jésus croyait dans l’histoire d’Adam et Eve. Il m’a montré cette parole de Jésus :

Mt.19:4 Il répondit: « N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme ».

Je suis donc reparti chez moi en méditant les conséquences de la véracité du récit asdamique. C’est alors que j’ai réalisé à l’âge de 18 ans que j’étais pécheur et que j’avais besoin d’être sauvé. Je me souviens quand j’ai allumé, j’étais tout seul dans ma chambre d’étudiant et je jubilais. Avant je m’expliquais la bêtise humaine, la mienne incluse, par un manque d’évolution mais là, j’avais compris que si ça allait autant mal aujourd’hui, c’était parce que l’homme était tombé dans le péché et que Jésus était venu lui offrir la possibilité de s’en sortir. La lumière se fit, j’ai compris que Jésus avait pris ma place sur la croix pour payer ma dette d’amour envers Dieu et qu’en plaçant ma foi dans son sacrifice, je pouvais être pardonné de mes péchés et sauvé de la condamnation que je méritais. La fois suivante que le pasteur m’a demandé si j’étais sauvé, j’ai pu lui dire « oui » tout en lui expliquant pourquoi. Il ne m’a plus jamais posé cette question. Voici la prophétie réalisée par Jésus qui m’avait le plus marqué, celle-ci avait été donnée par le prophète Ésaïe autour de 800 ans avant la venue de Jésus.

Esaïe 53:4 Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. 5 Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

Cette révélation m’a apporté une grande joie, non seulement Jésus s’était occupé avec compassion de ses contemporains en leur pardonnant leurs péchés, en les consolant et en guérissant leurs maladies mais il m’aimait moi aussi de la même manière! Jésus reste toujours le même et je peux compter sur lui, Hé.13:8. La Bible a cessé alors d’être un livre dépassé, elle est vraiment devenue à mes yeux ce qu’elle a toujours été; la Parole de Dieu, tout proche de mon coeur qui le met en lumière et m’indique comment plaire à Jésus.

En 1977, j’ai commencé à fréquenter l’Église Évangélique Baptiste, j’ai toujours entretenu de bonnes relations avec tous ceux qui aiment Jésus, peu importe la dénomination. Mon pasteur baptiste était vraiment sérieux par rapport à sa foi et il aimait la théologie, alors je pouvais lui emprunter des bouquins pour en savoir plus. J’avais été bien déçu cependant quand il m’avait dit qu’il n’y avait plus des miracles comme à l’époque des apôtres. La raison qu’on donnait c’était que maintenant on avait la Bible écrite pour croire, les miracles n’étaient plus nécessaires. À force d’étudier la Bible, j’ai fini par remarquer que cette doctrine n’avait aucun appui biblique, on ne pouvait pas citer de verset pour l’appuyer, on ne faisait que se baser sur sa propre expérience personnelle. Il y a une leçon importante que j’ai retenue de cela; notre foi doit être basée sur ce que Dieu dit et si notre expérience ne reflète pas ce qu’on lit dans la Bible c’est notre expérience qui doit changer et non notre croyance en ce que Dieu a dit. Par la suite, j’ai pris connaissance que des miracles se produisaient encore de nos jours et ça m’a encouragé. J’ai toujours aimé étudier et enseigner la Bible, je dois tenir cela de ma mère qui était enseignante. Maintenant avec l’internet où on peut voir des guérisons miraculeuses filmées en direct, il n’y a vraiment plus de raisons de ne pas croire que Dieu peut nous guérir aussi, comme c’est écrit dans la Bible:

Marc 16:17 Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils pourront chasser des démons, parler de nouvelles langues,
18 attraper des serpents, et s’ils boivent un breuvage mortel, celui-ci ne leur fera aucun mal; ils poseront les mains sur les malades et ceux-ci seront guéris.»

En 1994, j’avais eu une vision nocturne, un ange en blanc lumineux m’avait annoncé que mes paroles seraient comme du miel. Tout mon corps vibrait et j’étais incapable de bouger. C’est seulement cinq ans plus tard que j’ai compris comment ses paroles allaient se réaliser. En 1999, l’internet en était encore à ses balbutiements et j’avais remarqué qu’il n’y avait pas beaucoup de sites chrétiens francophones alors j’ai eu à cœur d’apprendre le langage html pour monter un site web chrétien. J’avais déjà accumulé beaucoup d’études bibliques au fil des ans et je continue à alimenter régulièrement mon site jusqu’à présent, www.croixsens.net. Internet a été pour moi un moyen extraordinaire pour évangéliser et édifier le monde francophone depuis plus de 15 ans. Alors quand j’ai pris connaissance en 2011 de la vision du pasteur Joël Spinks pour atteindre toute la francophonie, j’étais heureux de trouver quelqu’un dont la vision rejoignait la mienne. J’étais bien à l’aise de me joindre à son église, cela m’a ouvert aussi de nouveaux horizons spirituels. Ça me réjouit aussi beaucoup de voir que le ministère Enseignemoi.com se soit associé avec l’Église de la Victoire (EV – site web http://eglisedelavictoire.com/) pour atteindre la francophonie.

Sur le plan sentimental, j’ai rencontré une chrétienne et on s’est mariés en 1987, on a eu deux enfants qui sont maintenant adultes. Après plusieurs années de mariage, elle a décidé de quitter la maison. J’ai attendu deux ans qu’elle revienne mais finalement elle a demandé la séparation et obtenu le divorce en janvier 2011. Vraiment, ça été la pire période dans ma vie. Mais dans tout ça, je croyais quand même à la grâce de Dieu, je me disais que ma vie n’était pas finie et que Dieu était assez gracieux pour m’offrir une deuxième chance. J’espérais rencontrer un jour une femme que je pourrais rendre heureuse et avec qui je serais heureux, mais je ne m’attendais pas de la trouver au Cameroun par exemple, où on s’est mariés en novembre 2011… En Caroline, j’ai trouvé une épouse qui me comblait au-delà de mes attentes. Elle est pleine d’amour, toujours prête à servir le Seigneur dans la joie et la bonne humeur. C’est vraiment spécial de voir comment on se rejoint facilement dans nos pensées et nos aspirations. C’est comme si on avait grandi ensemble alors qu’on vient de deux cultures bien différentes. C’est encore une grande grâce de Dieu.

J’ai beaucoup appris spirituellement au contact de l’Église de la Victoire (EV) et aussi au contact de l’église de Caroline au Cameroun, Winner’s Chapel, qui encouragent à s’appuyer sur des paroles de foi. J’étais impressionné par la foi de Caroline qui était une jeune chrétienne mais qui avait reçu une très bonne formation pratique. Cela m’a ouvert des nouveaux horizons et stimuler dans ma marche chrétienne.

Ça été compliqué de faire venir Caroline au Québec, le gouvernement canadien demandait beaucoup de documents et de preuves. La grâce de Dieu s’est manifestée une fois de plus, alors que sur le site internet d’immigration Canada, on lisait qu’un dossier prenait normalement 25 mois avant d’être traité, celui de Caroline a été traité en 7 mois !

J’ai remarqué que les grandes bénédictions sont souvent précédés par des grands défis. C’est pour cela que c’est important de persévérer même quand c’est difficile. La difficulté n’est pas un signe que ce n’est pas dans la volonté de Dieu mais plutôt un signe que le diable sent la soupe chaude et qu’il fait tout pour nous empêcher de recevoir nos bénédictions. Ces défis qu’on a surmontés ont fortifié notre foi et on est confiants face aux défis qu’on vit présentement. On sait que Dieu fait toute chose belle en son temps et qu’on pourra le glorifier encore et encore.

Dès qu’on s’est joints à EV, on s’est impliqués dans un groupe de prières et d’études bibliques qu’on appelle chez nous » Groupe Vie » et éventuellement, on nous a demandés de le prendre en charge. Dieu nous a bénis et beaucoup de gens se sont rajoutés. Ensuite le pasteur Joël Spinks nous a proposé de chapeauter tous les groupes vie et nous avons accepté avec plaisir. Nous avons à cœur de voir ce ministère grandir parce qu’il répond aux besoins de communion fraternelle et d’encadrement spirituel.

Le passage suivant décrit bien l’appel que Dieu a placé sur ma vie, dans sa grâce.

Ésaïe 50:4 Le Seigneur, l’Éternel, m’a donné une langue de disciple attentif pour que, par ma parole, je sache fortifier ceux qui sont fatigués et il me fait tendre l’oreille matin après matin, afin que je l’écoute comme un disciple.
5 Le Seigneur, l’Éternel, a ouvert mon oreille, et moi, de mon côté, je n’ai pas résisté, je n’ai pas reculé.

La bonne nouvelle c’est que Jésus-Christ est très riche et qu’il vous a mis sur son testament ! Il a un héritage grandiose auquel vous pouvez avoir accès par la foi. Ma prière pour vous c’est que vous entriez en possession de votre héritage via une communion intime avec Jésus et que vous goûtiez ainsi au bonheur pour lequel nous avons tous été crées.

Jésus ne m’a pas appelé à être pasteur parce que je le méritais mais parce que c’est ainsi qu’il m’a demandé de lui démontrer que je l’aimais et j’ai dit « oui Jésus, je t’aime. » Voir Jn.21. C’est ce qu’il avait demandé à Pierre et c’est ce qu’il m’a répété dans mon esprit.

Jean 21:15 Lorsqu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre: «Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu plus que ceux-ci?» Il lui répondit: «Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’amour pour toi.» Jésus lui dit: «Nourris mes agneaux.» 16 Il lui dit une deuxième fois: «Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu?» Pierre lui répondit: «Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’amour pour toi.» Jésus lui dit: «Prends soin de mes brebis.»

Le Saint-Esprit applique souvent des paroles des Écritures pour des circonstances bien précises à des personnes sans que cela concerne les autres. On appelle cela en jargon chrétien des « rhema ». J’ai lu pendant des décennies Jean 21 sans me sentir interpellé comme ce fut le cas cette nuit de février 2016 quand le Saint-Esprit est venu me le buriner sur le coeur pendant mon sommeil. Après ma conversion, j’avais résisté 38 ans à cet appel, mais là, c’était trop clair, j’ai finalement cessé de « régimber contre les aiguillons ». Ne résistez pas à ce que Dieu vous demande pour ne pas retarder la bénédiction inutilement dans vos vies.

N’ayez pas de crainte, il ne vous demandera jamais rien au-delà des forces qu’il vous communiquera, car c’est par le succès que Dieu se glorifie dans nos vies alors que nos lèvres manifestent notre reconnaissance envers lui pour l’impact positif que nous avons.

– Pasteur Yvan Rheault, le webmestre de www.croixsens.net